"Oh no, not again": representability and a repetitive remark

(E): In their most repetitive moments, literature and film can help us respond to common critical assumptions about the temporality of trauma. Rather than posit trauma's latency, anteriority, or unrepresentability, I raise questions about its obviousness, interchangeability, and cliché. Moving past trauma theory, and into general questions about repetition and representation, I therefore turn to a phrase that has often been repeated in texts across a range of forms and genres: "Oh no, not again!" (F): Lorsqu’ils se font intensément répétitifs, cinéma et littérature peuvent nous aider à revoir certaines hypothèses sur la temporalité du trauma. Plut t que de revenir une fois de plus sur la latence, l’antériorité ou la non-représentabilité du trauma, je voudrais me pencher plut t sur son caractère évident, interchangeable, stéréotypé. Afin de dépasser les théories existantes et poser de nouvelles questions sur les phénomènes de répétition et de représentation traumatiques, je voudrais pour cela examiner ici plus en détail une phrase qu’on n’a cessé de répéter dans une grande diversité de formes et de genres : Oh non, pas encore ! .