The Power of Tableaux Vivants in Zola: The Underside of the Image

: Although they have already been the particular focus of scholarly attention, the series of tableaux vivants at the heart of Zola’s La Curée (1871) still continue to fascinate and raise questions. Like any image constructed by means of a work of literature, "The Loves of Narcissus and Echo" draw upon several different interwoven discursive and iconic modes which both contradict and substantiate each other. Usually analysed solely for their narrative value (as a "mise en abyme" of the novel), these tableaux vivants provide much more than a mere thematic and structural framework. The eroticism of the performance and that of the associated textua witticism (which provides the link between the silent images and those words) is enhanced by the much more disturbing eroticism of a lurking image which is both denied and revealed through the dressing room scene, bringing the chapter to a virtual close. It is a far from attractive affair of under layers which is brought to the fore in this scene. Résumé: Bien qu’ayant déjà fait l’objet de quelques études spécifiques, la série des tableaux vivants qui est au coeur de La Curée (1871) de Zola n’en continue pas moins de fasciner et de soulever mainte question. Comme toute image construite par le biais d’une oeuvre littéraire, Les amours du beau Narcisse et de la nymphe Echo sollicitent plusieurs logiques, discursives ou iconiques, qui s’entrecroisent, se contredisent, se renforcent mutuellement. Généralement analysés pour leur seule fonction narrative (comme mise en abyme du roman), les tableaux vivants proposent bien plus qu’un enchassement thématique et structural. A l’érotique du spectacle, à l’érotique du bon mot qui accompagne celui-ci (et permet d’articuler l’ordre des images muettes à l’ordre du mot d’esprit), ils joignent l’érotique bien plus troublante d’une image occultée, à la fois niée et mise en avant par la scène du cabinet de toilette qui cl t quasiment le chapitre du roman : une histoire de dessous, tout sauf affriolants, qu’on tente ici de mettre au jour.